dimanche 31 mars 2013

Gadget : La boule puante, une arme de défense ?

Demain c'est le 1er Avril et ce que vous allez lire n'est pas une farce.
Pourquoi parler de la boule puante? pour son effet nauséabond bien sûre mais réfléchissons un peu plus là dessus.

Beaucoup  de super héros en herbe, respectueux des lois et voulant néanmoins avoir une capacité d'agression afin de faire face à un malfaiteur, ne savent pas très bien se battre, et ne savent pas comment s'équiper.
Certains vont utiliser des petits gadgets de défenses tel que des poings de singe, des petites armes contendantes tel que le kubotan (petit bâton de défense).
Malheureusement, ces armes de défenses nécessitent une technique et une expérience et peuvent être inefficace , par exemple, lorsque l'adversaire est protégé par des vêtements d'hiver (plus épais) ou lorsqu'il y a une réelle différence de gabarie ou de nombre d'adversaire.

Comment pourrait faire fuir un ou plusieurs personnes sans utiliser d'arme et dans la légalité ?

Le super héros peut agir sur les sens tel que l'ouîe, la vue, et l'odorat
.
Dans cet article, il s'agira de l'odorat car même un gros costaud à un nez.
La boule puante a la capacité, comme son nom l'indique, de créer une forte odeur nauséabonde. Il y a donc là un grand intérêt.
Le super héros pourra en lancer quelques unes au pied des adversaires et, dans le pire des cas, cela les déstabilisera.
Il y a certes la bombe au poivre mais l'usage de celle ci nécessite une distance plus courte.

Les avantages de la boule puantes pour le super héros sont les suivants :
 - facilement transportable
 - utilisable à distance
 - peut agir sur une ou plusieurs personnes quel que soit leur physique
 - peut être utiliser pour faire fuir ou éloigner.
 - légale
 - disponible dans des magasins de farces et attrape
 - c'est pas cher


mardi 26 mars 2013

Vrai super héros : Le Batman de Bradford


Batman tombe le masque

bat03-05_135936.jpg
Le mystère est levé. Batman a tombé le masque. La police britannique avait diffusé la vidéo d’une caméra de surveillance pour identifier le justicier masqué venu lui livrer un malfrat.

Non, ce n’était pas une version anglaise du milliardaire Bruce Wayne qui se cachait sous le masque de Batman. Stan Worby (39 ans) gagne sa vie en livrant à domicile les repas d’un restaurant chinois à Bradford.
Fin février, il s’était rendu à un match de football déguisé en Batman. C’est dans cet accoutrement qu’il avait reçu l’appel téléphonique de l’un de ses amis. Danny Frayne (27 ans) lui demandait d’aller le conduire au commissariat pour répondre de plusieurs délits. Depuis plus d’une semaine, Stan tentait de convaincre son copain de se rendre. Ne voulant pas rater l’occasion, il a gardé son costume de super-héros pour l’amener au poste de police.

vendredi 22 mars 2013

Apprendre à se battre rapidement ?

Savoir se battre ou bien savoir se défendre rapidement...
Certains vont vous dire, que c'est très facile, qu'il suffit d'assimiler quelques techniques, de suivre une formation de quelques séances ou quelques mois pour être prêt.
D'autres vont vous dire qu'il suffit de prendre des cours de self défense ou d'art martiaux. Certes les cours sont nécessaires pour apprendre des techniques mais le cadre de formation que propose les clubs d'art martiaux sont fait pour donner 2 à 4 heures de cours par semaines. Cela veut dire que le super héros en herbe en aura pour au moins 3 ans  avant de savoir se battre et à maitriser des techniques de combat.
Les principaux problèmes des écoles d'art martiaux  sont les suivants: 
- ils proposent les art martiaux comme activité de loisir et de détente, donc sans combat 
- ils ne donnent que quelques heures de cours par semaine.
- Les clubs de combat sportif et/ou de compétition, n'enseignent pas le combat de rue.
- Les clubs enseignent en générale qu'un seul mode de combat (à main nue, armée, couteau, bâton, etc.)
- ils apprennent à se défendre principalement contre leur technique enseigné.
- les groupes de partenaires sont déjà formés et il est difficile de trouver une partenaire de combat avec qui s'entrainer régulièrement.

Ce qu'il faut savoir : Le principale outils de l'apprentissage du combat c'est le partenaire d''entrainement. En effet, dans les clubs , les groupes de partenaires se forment dés le départ ils ont plus ou moins le même niveau  et/ou ils ont commencés en même temps. Il est donc difficile de trouver une partenaire qui à la patience et la volonté  de réduire son niveau d'apprentissage afin qu'il puisse s'entrainer avec vous.
Deux solutions  à ce problème :
- Si vous avez de l'argent,  prendre des cours particuliers. Attention, c'est souvent le seul véritable revenu du professeur qui , s'il est intéressé, peut faire ralentir votre progression afin de garder longtemps un client.
- Choisir un club avec un grand nombre de débutant. Pour vérifier cela, c'est très simple. Les clubs proposent régulièrement en début de saison des cours d'essais. Allez à ses cours d'essais et regarder le nombre de débutants qui assistent à ces cours. Regardez aussi le nombre de pratiquant du club. Cela vous indiquera aussi la bonne ambiance et le sérieux du club.

Conclusion : 
le super héros choisira un club qui propose :
- un enseignement du combat à main nue, à main armée (couteau, bâton, etc), contre un adversaire et contre plusieurs adversaire
- un enseignement à but réel
et non compétitif, sportif, ou ludique
- plusieurs heures de cours par semaines ( au moins 10 heures)
- des séances de combat régulières (Sparring)
La méthode de combat qui répond à ces conditions est celle enseignée aux forces de sécurité et aux militaires. Il y a des clubs de ce type pour civil (close combat, krav maga, ect)
- un club possédant un grand nombre de pratiquant

Conseil :
 - le partenaire d'entrainement est essentiel
 -
On n'apprend pas à se battre sans prendre de coups
 - c'est le combat réel qui forme
 - l'ancienneté de l'enseignant et son parcours compte beaucoup dans l'enseignement
 - le Close combat est le plus réaliste et le plus complet
 - Combattre dans des conditions et des milieux différents.

Si vous ne pouvez pas aller dans un club, car c'est trop cher, trop loin, pas celui que vous chercher, vous pouvez toujours apprendre à vous battre sans club, ça sera généralement plus long mais sera toujours plus efficace que si vous ne faites rien.
Concernant ce sujet,
lisez l'article suivant "Apprendre à se battre seul".

Citizen French : le "super héros" des rues de Paris


Les Défenseurs de France, supers héros à la française | JOL Journalism Online Press

Les Défenseurs de France, supers héros à la française | JOL Journalism Online Press

Dans la vie, ils sont étudiants, cuisiniers ou vigiles. Inspirés par un phénomène tout droit sorti des États-Unis, ces anonymes du quotidien, une fois masqués et déguisés, se battent contre l’insécurité, la misère et l’incivilité. Ils s’appellent Andyman, l’Arpenteur ou Citizen French, et veulent avant tout faire « respecter la loi en tout point ».
Citizen French, un des super héros français. Photo: Les Défenseurs de France

Des personnes, « comme vous et moi », inspirées des comics américains

Pierre-Elie de Pibrac est un jeune photographe français. Avec cette particularité qu’il immortalise… des super héros. À New York, Washington, Los Angeles, Portland ou Chicago, il est allé photographier ces hommes – et femmes – qui s'attaquent « de front et de façon décalée à la fatalité de la misère ou de la violence, de l'incivilité ou de l'inculture », écrit-il sur le site des Real Life Super Heroes (RSLH).
« Ils sont aujourd'hui près de 200, des personnes, comme vous et moi, qui contribuent à faire du bénévolat un acte civique extraordinaire en exploitant des figures mythiques, des personnages fictifs emblématiques sortis tout droit de l'histoire américaine du cinéma, de la bande dessinée ou plus précisément des comics », poursuit-il.
Inspirés des super héros américains, ils se travestissent, le temps de leur « mission ». Parfois armés, souvent en collants colorés, toujours masqués, Blackbird, Dark Wolf, Captain Jackson, Hell Hound et les autres « possèdent chacun leur propre costume et s’attribuent un terrain d’action et un type d’interventions au sein de leur communauté, en majorité en direction des sdf, toxicomanes et mauvais citoyens de tous poils », explique le photographe.

Le phénomène débarque en France

Ce phénomène, en plein essor aux États-Unis et dans les pays anglo-saxons, tend depuis peu à se développer en France. Les « Défenseurs de France », fondés en 2010, représentent « la première équipe de RLSH en France, visant à rendre cette dernière plus juste et à rassembler tous les RLSH français désireux de fournir leur aide pour améliorer notre monde », écrit le groupe sur sa page Facebook. Protéger les innocents, servir la population, combattre l'injustice et l'apathie de notre société : voilà les trois missions que se donnent les Défenseurs de France.
Blue Smash est le fondateur des Défenseurs de France, qui rassemble une douzaine de membres. Cet étudiant qui agit en Seine-Saint-Denis (93) explique que c’est le film Kick Ass, sorti en 2009, qui raconte le phénomène des Real Life Super Heroes, qui lui a donné le déclic.
Dans une interview accordée au magazine Neon, il raconte qu’il patrouille depuis un an dans les rues du 93, en compagnie de trois autres « super héros », pour distribuer de l’eau et de la nourriture aux sans-abris, et qu’il aime s’adonner au parkour, autrement dit, il transforme des éléments du paysage urbain en obstacles, les franchissant en sautant ou en les escaladant. Pour le moment, seuls certains de ses amis sont au courant de ses activités, mais il ne souhaite pas en parler à sa famille.

Citizen French, un super héros dans les rues de Paris

Le Parisien a rencontré l’un de ces super héros français, qui fait des maraudes dans les rues de la capitale française pour venir en aide aux sans-abris, et du « crime fighting », pour intervenir lors d’agressions. Il explique ses motivations dans cette vidéo :
http://www.leparisien.fr/diaporama-videos/index.php?sig=f4830eb0cf3s&csi...